25th March 2012: Film Screening and Conversation at Concordia University

English

SASA, STUDENT ART STUDIES ASSOCIATION, in collaboration with the FOFA Gallery presented a screening of renowned feature documentary filmmaker Alanis Obomsawin’s film; Professor Norman Cornett: ‘Since when do we divorce the right answer from an honest answer?’ Please write (in French or English) your reflections on the film and the discussion that followed below.

français

L’ASSOCIATION DES ÉTUDIANTS EN ÉTUDES DES ARTS (SASA), en collaboration avec la Galerie FOFA, a présenté le documentaire Professeur Norman Cornett : « Depuis quand ressent-on l’obligation de répondre correctement au lieu de répondre honnêtement? » de la cinéaste de renom Alanis Obomsawin. s’il vous plaît, faites vos commentaires (en français ou en anglais) sur le film et la discussion ci-dessous.

Conversation Part 1

Conversation Part 2

Photo credit Tara Brockwell

2 Responses to 25th March 2012: Film Screening and Conversation at Concordia University

  1. Barbara says:

    Having participated in a couple of Dr. Cornett’s dialogic sessions in the past, I truly enjoyed the discussion with regard to the film’s messages; and also the filmmaker, Alanis Obomsawin, her insights into the art of filmmaking and her honest reasons for doing so. Watching and listening, both guests reminded me of how much is ‘out there’ and ‘in here,’ patiently waiting to be discovered.

  2. Outre qu’il est émouvant et très respectueux ,très à l’écoute de son sujet, (qualité propre aux documentaires de Mme Obomsawin ) en l’occurence vous et vos proches, Professor Cornett, le film nous fait plonger dans un sentiment d’injustice et de vague absurdité à la Kafka. Pourquoi faut-il qu’un professeur aussi populaire, aux idées et à la démarche si intéressantes, voire novatrices, soit brusquement mis au ban de l’institution où il exerçait ? On se prend à songer que
    cette sauvagerie tracassière et paperapoussiéreuse de bonzes infects, ou à tout le moins infectieux, n’est même pas née de quelconques divergences d’opinions ou de méthodes mais purement et simplement de quelque chose de l’ordre des jalousies souterraines. A moins qu’on voit d’un mauvais oeil l’éveil de la conscience et de la capacité à ne pas s’endoctriner aveuglément, chose assurément des plus dangereuses en des temps trop Droits…
    Vous qui préconisez le dialogue comme outil de progrès individuel et collectif, avez dû vous sentir
    profondément heurté de cette étrange absence de dialogue entre des décideurs, ressentis dans le film comme absents, muets et invisibles, et vous, l’objet de la décision.
    On assiste ainsi au combat, jamais réjouissant, entre l’individu libre qui clame son droit à poursuivre librement l’exercice de son talent et de tristes armée bureaucratiques qui ont comme avantages le nombre et la lâcheté. Il y a du Don Quichotte en vous,sans la déraison.
    Par chance votre amour des idées (de leur remise en question aussi ), des gens et de l’art ( c’est un vrai plaisir de voir dans le film les liens profonds que vous entretenez avec la musique ) semble devoir finalement faire pencher la balance du côté de la beauté …
    Si mon vin est aigre, il n’en est pas moins
    sincèrement vôtre !
    Normand Lacroix : artiste-peintre

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